Lettres de quelques Juifs portugais et allemands à M. de Voltaire: Avec des reflexiones critiques, et un petit commentaire extrait d'un plus grand, Volumen2;Volumen9

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Chez Moutard, 1772
First edition published Paris, 1769; each succeeding edition was revised and enlarged.
 

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Página 369 - ... verum ubi plura nitent in carmine, non ego paucis offendar maculis, quas aut incuria fudit aut humana parum cavit natura.
Página 2 - Tu aimeras l'Eternel ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes facultés.
Página 216 - Il n'est que trop vrai qu'il ya eu des anthropophages ; nous en avons trouvé en Amérique...
Página 201 - Ecrivain du dixhuitieme fiecle , il vous fied bien de reprocher l'ignorance aux anciens Hébreux ! à un peuple qui , lorfque vos barbares ancêtres...
Página 364 - Guénée passe à d'autres barbarismes; mais « vous savez tout cela mieux que nous, Monsieur ; et il ya mille à parier contre un que vous aviez écrit correctement. Il est vrai qu'il est un peu fâcheux que ces petites fautes se trouvent dans toutes les éditions de vos ouvrages, même dans celle qui s'exécute sous vos yeux. Mais ces typographes sont si négligents ! Quand on les connaît, rien de tout cela n'étonne.
Página 31 - N'est-il pas clair, répondez-vous, que c'est calomnier grossièrement nos lois , ou montrer évidemment à toute la terre que vous ne les avez jamais lues? » Ah ! toute la terre, messieurs!
Página 299 - Aurait-il dit , ne regarde^ point le v\n quand il parait clair, & que fa couleur brille dans le verre ? Je doute fort qu'on ait eu des verres à boire du tems de Salomon ; c'eft une invention fort récente ; toute l'antiquité buvait dans des tafles de bois ou de métal ; & ce feul paflage indique peut-être que cette colle&ion juive fut compofée dans Alexandrie , ainfi que tant d'autres livres juifs.
Página 75 - Moloch.... Ne vous souillez point par ces abominations, comme ont fait les nations que je vais chasser de devant vous pour les punir de ces crimes. Et plus bas : Si quelqu'un donne ses en/ans à Moloch, il sera mis à mort, et tout le peuple le lapidera.
Página 107 - Vous mêlez à ce qu'en rapportent nos Ecritures , les fables qu'en débitent les Arabes ; & feignant de n'en vouloir qu'à ces traditions fabuleufes , vous dites : TEXTE. » Je ne parle ici que de l'Hiftoire profane ; » car nous avons pour celle des Juifs les fen» timens que nous devons avoir Nous n ne nous adreflbns qu'aux Arabes ". (Dicî.

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