Oeuvres de P. Corneille: avec les commentaires de Voltaire, Volumen10A.A. Renouard, 1817 |
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Términos y frases comunes
acte acteurs actions adorable aimer âme amour apodos Aristote assez auroit avoit beau beauté Bénissez le Seigneur bonté briller CALISTE charmes chose ciel cieux Cinna Cléopâtre Clytemnestre cœur comédie connoître Corneille crainte crime Dieu dieux digne dire discours doit domter donne doux ennemis esprit Esprit saint étoit Euripide Exaltez sa grandeur foiblesse Fontenelle fureur gloire guerre Héraclius héros heureux homme Horace Israël j'ai j'en jamais joie jour juste justice l'action l'amour l'auditeur l'autre l'histoire l'Imitation de Jésus-Christ laisse lieux lois MADRIGAL main maître malheur mieux mœurs monarque mort n'en Nicomède OEdipe paix parler passe passions père périls peuple Phocas pièce PIERRE CORNEILLE pitié poëme poète Polyeucte Pompée premier prince PSAUME Pulchérie qu'à qu'un raison rendre rien Rodogune rois s'il SAINT-ÉVREMOND sainte sang scène sentiments seroit seul Sophocle sorte spectateurs sujet Térence terre théâtre Thyeste tragédie trembler TYRCIS vertus veut victoire vœux vois voit Voltaire vraisem vraisemblable yeux
Pasajes populares
Página 186 - Marquise, si mon visage A quelques traits un peu vieux, Souvenez-vous qu'à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux. Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront, Et saura faner vos rosés Comme il a ridé mon front.
Página 256 - OCTOBRE 1676. vrai , grand monarque ! et puis-je me vanter Que tu prennes plaisir à me ressusciter , Qu'au bout de quarante ans, Cinna, Pompée, Horace, Reviennent à la mode, et retrouvent leur place, Et que l'heureux brillant de mes jeunes rivaux N'ôte point leur vieux lustre à...
Página 155 - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Página 3 - Il ne faut pas prétendre , dit ce philosophe , que ce genre « de poésie nous donne toute sorte de plaisir , mais seule« ment celui qui lui est propre ; » et pour trouver ce plaisir qui lui est propre , et le donner aux spectateurs , il faut suivre les préceptes de l'art, et leur plaire selon ses règles.
Página 114 - Cela aiderait à tromper l'auditeur, qui ne voyant rien qui lui marquât la diversité des lieux, ne s'en apercevrait pas, à moins d'une réflexion malicieuse et critique, dont il y en a peu qui soient capables, la plupart s'attachant avec chaleur à l'action qu'ils voient représenter.
Página 15 - ... l'amour , telles que sont l'ambition ou la vengeance, et veut donner à craindre des malheurs plus grands que la perte d'une maîtresse. Il est à propos d'y mêler l'amour , parce qu'il a toujours beaucoup d'agrément , et peut servir de fondement à ces intérêts, et à ces autres passions dont je parle ; mais il faut qu'il se contente du second rang dans le poëme , et leur laisse le premier.
Página 114 - Les jurisconsultes admettent des fictions de droit; et je voudrois, à leur exemple, introduire des fictions de théâtre, pour établir un lieu théâtral qui ne seroit ni l'appartement de Cléopâtre, ni celui de Rodogune dans la pièce qui porte ce titre, ni celui de Phocas, de Léontine, ou de Pulchérie dans Héraclius , mais une salle sur laquelle ouvrent ces divers appartements...
Página 165 - NE verse point de pleurs sur cette sépulture, Passant : ce lit funèbre est un lit précieux, Où gît d'un corps tout pur la cendre toute pure ; Mais le zèle du cœur vit encore en ces lieux. Avant que de payer le droit à la nature...
Página 404 - Cinna, par vos conseils je retiendrai l'empire, « Mais je le retiendrai pour vous en faire part.
Página 14 - Sa dignité demande quelque grand intérêt d'État ou quelque passion plus noble et plus mâle que l'amour, telles que sont l'ambition ou la vengeance, et veut donner à craindre des malheurs plus grands que la perte d'une maîtresse.