 | Amable Guillaume Prosper Baron BRUGIÈRE DE BARANTE - 1809 - 284 páginas
...comme à la morale. Il devint le modèle de ces hommes froids et vuides, qui apprirent à son école comme on pouvait se battre les flancs pour se donner de la verve dans les mots, sans avoir un foyer intérieur de pensée et de sentiment. Le disciple le plus fidèle des philosophes... | |
 | 1824 - 472 páginas
...comme à la morale. Il devint le modèle de ces hommes froids et vides, qui apprirent à son école comme on pouvait se battre les flancs pour se donner de la verve dans les mots, sans avoir un foyer intérieur de pensées et de sentiment. DE BARANTE , De la Littérature française... | |
 | François Zénon Collombet - 1846 - 994 páginas
...morale ; il devint le modèle de ces hommes froids et vides , qui apprirent, à son écote, comment on pouvait se battre les flancs pour se donner de la verve dans les mots , sans ave un foyer intérieur de pensée et de sentiments (2). » = mes La plus grande partie deslettresqui... | |
 | Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1847 - 330 páginas
...comme à la morale. Il devint le modèle de ces hommes froids et vides, qui apprirent à sou école comme on pouvait se battre les flancs pour se donner de la verve dans les mots, sans avoir un foyer intérieur de pensée et de sentiment. Le disciple le plus fidèle des philosophes... | |
 | Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - 1847 - 332 páginas
...comme à la morale. Il devint le modèle de ces hommes froids et vides, qui apprirent à son école comme on pouvait se battre les flancs pour se donner de la verve dans les mots, sans avoir un foyer intérieur de pensée et de sentiment. Le disciple le plus fidèle des philosophes... | |
 | Charles Augustin Henry (l'abbé.) - 1875 - 394 páginas
...comme à la morale. Il devint le modèle de ces hommes froids et vides qui apprirent à son école comme on pouvait se battre les flancs pour se donner de la verve dans les mots, sans avoir un foyer intérieur de pensées et de sentiments. » (De la Littérature française au xvm... | |
 | Auguste Charles Henry - 1875 - 402 páginas
...comme à la morale. 11 devint le modèle de ces hommes froids et vides qui apprirent à son école comme on pouvait se battre les flancs pour se donner de la verve dans les mots, sans avoir un foyer intérieur de pensées et de sentiments. » (De la Littérature française au xvm... | |
| |
comme on pouvait se battre les flancs, pour se donner de la verve dans les mots, 